La destruction.
Mais quels étaient ces royaumes, ceux qui jadis si fleurissants, joyeux, où chacun venait festoyer. Ces royaumes qui autrefois, connus de tous, brillaient par leurs noms, leurs réputations ainsi que leurs chefs. Où était donc ce cher noghar, le gros tenancier et ce puant de fetide dont l’odeur, habituellement percevable à des kilomètres, était inexistante.
Notre costaux Akennor n’y était guerre. Je me réveillais dans les décombres, personne en vue. Les souvenirs remontaient tranquillement a mon esprit qui, tourmenté, tentait de revenir à lui. Noghar était déjà disparut, fetide également alors que Akennor tentait de garder les rangs, mais ils étaient trop nombreux. Les ennemis sont arrivés en surnombre et nos alliés se sont défilés à la première occasion, envahit par la peur ils nous ont abandonné. Oh et puis ensuite il eut ce traitre, cette égoïste, celui qui ne défendit jamais personne, celui qui n’a jamais envoyé ses troupes pour nous aider au combat, celui qui nous a trahit au dernier moment. Cet être ignoble, bobartazz, brulera un jour dans les pires niveaux des enfers. Autour de moi se trouvait la désolation, il ne restait que des ruines. Les traces de lourd combats étaient évidente je me souvins de mettre lancer avec mon armer sur l’ennemi qui nous attaquait, plus rien après. Je regardais autour de moi, les cadavres étaient nombreux. Nous avions perdu. Nous étions plutôt sans défense face a notre attaquant qui en a profité pour perpétuer ses attaques déloyales sur un peuple opprimé. La Taverne n’était plus. Étais-je le seul survivant? Nul ne pouvait me le confirmer. Je ramassais ce qui restai de mon luth, il était brisé. J’enfilai mon casque, et reparti vers les ténèbres en jurant vengeance contre ce bobartazz, ainsi que ceux qui avaient souillé notre joyeux établissement. De ce jour est née Knights of Apocalypse.
La vengeance mène vers le mal, le mal lui est nécessaire pour combattre le mal.
Combattez le feu par le feu, le mal par le mal. Moi, Black, me tourne vers le mal car sans lui il ne peu y avoir de bien.