Composition de texte roleplay

Bon c'est pas vraiment une connerie, et je me demande encore si ça convient vraiment à bahagon, mais on m'a dit de posté ça ici pareil. C'est un background que j'avais fait pour un personnage de Dungeons et Dragons. Mais comme c'est basé sur les elfes et les orques, je me dit que je ne suis pas totalement hors contexte non plus . C'est la première fois que j'écrivais un texte aussi long, alors j'apprécierais grandement vos commentaires ( autant positif que négatif )

En passant désolé si ça manque un peu de paragraphe au début...

Info: Maliana est une elfe des bois ( elfe neutre pour bahagon je dirais).

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Maliana se réveilla, légèrement troublé comme si elle venait de faire un mauvais rêve, mais pourtant elle n’avait aucun souvenir d’avoir rêver. Elle ouvrit alors les yeux lentement, ayant l’impression d’avoir passé des jours inconsciente. C’est alors qu’elle comprit d’où lui venait ce sentiment d’inquiétude. Tout autour d’elle il n’y avait que du noir, pas seulement une obscurité comme lorsque le soleil quitte l’horizon, mais un noir impénétrable. Elle crut d’abord être devenue aveugle, mais elle se rendit vite compte que ce n’était pas le cas. Le sol sous elle était plutôt trempé, l’air était d’une humidité difficilement endurable et tout autour d’elle elle pouvait entendre le son de quelques gouttes d’eau qui tombait sur le sol l’une après l’autre. C’est alors qu’elle comprit qu’elle devait se trouver loin de la surface et du soleil, dans une grotte de la Célène. Du moins c’est ce quelle espérait. Elle essaya alors de se souvenir comment elle avait pu aboutir dans cet endroit. Elle se rappela être parti avec son frère et son oncle dans la forêt. Elle se souvenait aussi que cette journée elle avait toujours l’impression d’être suivi. Les animaux ne semblait pas agir normalement autour d’elle, et pourtant, elle était habituée à leur comportement puisqu’elle passait la plupart de son temps en leur compagnie. Par la suite ils s’étaient arrêtés, dans une petite zone déboisée d’environ une dizaine de mètres pour se reposer et faire un feu... Une goutte d’eau toucha son visage. Maliana se concentrait du mieux qu’elle pouvait, elle se sentait encore un peu étourdi et l’air qu’elle respirait rendait la concentration plutôt difficile. Après avoir fait le feu, ils avaient entendu du bruit non loin derrière eux. Leur oncle leur avait dit d’attendre près du feu pendant qu’il allait jeter un coup d’œil dans les bois. Puis elle avait entendu un cri, mais est-ce que cette voix était celle de son oncle, elle n’aurait pu le dire. Puis…non… plus rien. Elle n’arrivait pas à se souvenir de la suite. Elle décida alors de se lever, il fallait bien qu’elle sorte de cet endroit, et plus vite se serait, plus vite elle pourrait retrouver les autres. C’est du moins ce qu’elle se répétait, puisque rien ne lui prouvait que son frère et son oncle fussent toujours en vie. En se relevant elle mit la main sur un bout de tissu. Elle tâtonna un peu et se rendit compte que c’était son sac. Tout semblait encore à l’intérieur. Elle retrouva même son arc, ses flèches et tout son équipement. Au moins elle pourrait se défendre si le besoin venait…mais…une question lui venait quand même à l’esprit. Pourquoi la chose qui l’avait conduit jusqu’ici lui aurait-elle laissé toutes ses armes. En plus elle ne ressentait aucune douleur, pas même la moindre migraine. Pourquoi alors l’avoir conduit jusqu’ici si se n’était pas pour la voler ou la tuer. Elle essaya de chasser ces questions de son esprit, elle devait d’abord sortir de cet endroit. Elle sorti alors une torche de son sac puis l’alluma non sans difficulté au bout de quelques minutes, l’humidité avait un peu compliqué la tâche. Elle sorti ensuite son miroir de son sac, elle n’avait en effet aucune marque ou blessure sur le corps. Même ses vêtement était intacte, mis à part qu’ils étaient trempés puisqu’elle était étendu sur le sol depuis peut être plusieurs heures. Ses long cheveux blond était plutôt sal et emmêlé, mais dans un endroit pareil cela n’avait rien de surprenant. Puis elle rangea son miroir dans son sac et observa les murs qui l’entouraient. Les murs étaient convers de moisissure et de mousse. Il y avait des coulisses d’eau un peu partout. Elle trouva une petite flaque d’eau à quatre ou cinq mètres à côté d’elle. Elle hésitait un peu, l’eau semblait plutôt claire. Elle se risqua donc à boire. L’eau était d’une fraîcheur indescriptible. Elle avait tellement soif qu’elle avait l’impression de boire pour la première fois de sa vie. Il lui semblait que jamais elle n’avait pu boire une eau aussi pure même dans les rivières de la Célène qui entourait sa ville natale. Elle se rinça aussi le visage pour se réveiller un peu. Puis elle se releva. Elle longea du regard le mur en avant d’elle, puis elle vit que l’eau qu’elle venait de boire arrivait par le plafond, situé à environ trois mètres au dessus d’elle. Elle décida d’emplir ses 2 gourdes d’eau dans cet étang miniature et en profita pour manger un peu. La nourriture qu’elle avait dans son sac n’était pas des plus gouteuses, mais elle commençait à y être habituée. Elle regarda ensuite autour d’elle, puis elle vit qu’il y avait deux directions possibles à partir de cet endroit. L’une passait par la droite de l’étang, et l’autre partait dans la direction opposé à l’étang. Mais, comme l’eau semblait couler dans cette direction, le sol devait descendre par la, donc elle choisi de prendre le chemin par la droite. Tout en marchant, elle observait les murs en espérant trouver un passage secret ou encore repérer les pièges qu’ils pourraient y avoir sur son chemin. Qui sait, si une personne l’avait conduit jusqu’ici se devait être parce que cet endroit était habité, ou du moins fréquenté. Mais même si sa main tâtait les murs, ses yeux fixaient le vide. Elle ne pouvait s’empêcher de penser à son frère, était t’il toujours en vie, se trouvait t’il lui aussi dans cet endroit ? Elle ne pouvait tolérer l’idée qu’il soit arrivé quelque chose à son frère. Jamais elle ne pourrait se le pardonner. Ils s’étaient tous les deux jurées de toujours veiller l’un sur l’autre quoi qu’il arrive. Elle ne pouvait abandonner cette promesse. Quant-elle revint à elle, elle se rendit compte qu’elle marchait depuis un bon moment. Pourtant elle n’avait pas encore croisé d’autres chemins. Par contre, elle avait remarqué que plus elle avançait dans cette direction, plus l’air semblait devenir supportable. Elle ressentie alors le besoin d’appeler de l’aide, de crier, mais elle se retint puisqu’elle ne voulait pas s’attirer d’ennuie dans un endroit pareil. Qui sait ce qui pouvait se cacher dans ce souterrain. Les souterrains de la Célène étaient réputés pour renfermés des créatures des plus étranges et dangereuses. Certains racontaient même que ces créatures étaient aveugles et qu’elles pouvaient vous retracer à l’odeur et aux sons. D’autres disaient avoir croisés des dragons, qui par chance utilisent ces grottes pour se reposer. Qui sait, peut-être y avait-t-il des trésors enfouis en ces lieux. Le sol semblait maintenant redescendre pour s’enfoncer plus profondément dans ces lieux. Mais, revenir en arrière ne servirait probablement pas à grand chose. Surtout qu’elle avait un peu perdu la notion du temps vu l’absence du soleil et des astres et qu’elle ne savait pas depuis combien de temps elle avançait dans cette direction. La pente dans le sol était à peine perceptible et le sol redevint plat au bout de peu de temps. Au loin devant elle, Maliana crut voir une ouverture vers une salle plus grande qui semblait émettre une faible lueur. Elle décida d’accélérer un peu le pas. Cette lueur n’avait rien d’une lueur de flamme, puisqu’une flamme à tendance à faire danser les reflets de lumières sur les murs. Mais cette lumière était stable, ce qui signifiait sûrement qu’elle devait provenir de l’extérieur. Puis, tout à coup, arrivé à environ quatre mètres de la salle, elle entendit un léger bruit derrière elle qui la fit sursauter. Elle se retourna brusquement, tout en continuant d’aller dans la même direction un peu plus lentement, mais elle ne vit rien. C’était probablement une pierre qui s’était décroché sous le résonnement de ses pas. Elle se retourna alors pour voir cette pièce qui lui avait semblé plus grande que le couloir dans lequel elle se trouvait. Mais en se retournant, son pied ne trouva pas d’appui et elle tomba. Elle lâcha immédiatement sa torche et d’un seul mouvement fit un demi-tour sur elle-même pour s’agripper au rebord. Elle avait exécuté se mouvement avec une telle rapidité qu’elle se surprit elle-même. Elle regarda alors vers le bas, sa torche tombait…tombait encore, mais sans jamais touché le fond. Elle la perdit de vue, mais n’entendit jamais le son qu’aurait du faire la torche en atteignant le fond du trou. Elle n’avait pas vraiment le choix, il fallait qu’elle remonte sur le rebord. Elle prit alors son arc d’une main et le déposa en haut, puis fit de même avec son sac pour s’alléger un peu. Elle essaya alors de remonter, mais la pierre sous sa main gauche lâcha et elle manqua de peu de glisser. Maliana ne pu retenir le léger crie aigu qui sorti de sa bouche. Son crie se perdit peu à peu dans les parois sous ses pieds. Elle pendait dans le vide, suspendu au bout d’un seul bras. Ses pieds ne pouvaient trouver prisent nulle part puisque la paroi s’éloignait d’elle sous le rebord. Elle regarda alors vers le bas, puis vers le haut, et dans un élan soudain de force elle s’agrippa au rebord de nouveau. Puis elle se remonta, non sans difficulté. Elle s’assit alors et observa autour d’elle en reprenant son souffle. La lueur qu’elle avait vue provenait du plafond. Mais celui-ci se trouvait à une vingtaine de mètres au dessus d’elle, et elle s’avait très bien qu’escalader cette paroi était une chose irréalisable même pour un expert. L’endroit qui se trouvait devant elle était très vaste. C’est à peine s’il s’arrêtait à une dizaine de mètres vers la droite et devant elle, mais par contre à gauche d’elle la pièce ne s’arrêtait pas avant une bonne cinquantaine de mètres sinon plus. Cette zone était moins bien éclairée et malgré son excellente vision dans l’obscurité Maliana avait bien du mal à percevoir le fond dans cette direction.

Puis, alors qu'elle commençait à perdre espoir, elle entendit le déclenchement d'un mécanisme. Une passerelle commença à sortir du mur à sa gauche. Maliana entendit une voix provenant de cette direction. La voix parlait dans un language qu'elle connaissait très bien, et qu'elle avait toujours détesté entendre. Ce language avait le don de provoquer la rage de Maliana, qui dû faire tout ce qu'elle pouvait pour se maintenir et se releva pour se cacher derrière le bord de l'entrée. Ce language, était celui des orques. Mais par chance, celui-ci semblait se parler à lui même et devait donc être seul.

- Eh merde ! Ne me dites pas que cette pourriture d'elfe s'est jetée d'elle même dans ce trou sinon je vais avoir de sérieux problème.

Maliana prit alors se arc tout en évitant de faire le moindre son, se recula un peu, et encocha une flèche, étirant la corde de son arc pour être prêt à tirer. Lorsque l'orque touna le coin, il s'arrêta, voyant qu'il s'était fait pièger. Il n'avait sur lui que la torche qu'il tenait pour éclairer son chemin. Maliana prit alors la parole dans cette langue qu'elle détestait au plus au point. On pouvait sentir l'immense colère dans sa voix, même si elle faisait des efforts pour éviter de crier.

- Je vais te poser trois question, et je te suggère d'y répondre correctement !

- (léger rire) Tiens donc beauté ! Alors on à bien dormi ? C'est le maître qui va être content !

Maliana ne fit pas attention à ce que l'orque disait et continua, étirant un peu plus la corde de son arc.

- Première question ! Où suis-je ?!?!

L'orque réalisa tout à coup dans quel situation il s'était placé. Il se décida donc à répondre, mais sans toutefois laisser paraître aucune peur ou nervosité.

- Alors on est perdu ? Eh bien ma belle tu te trouve dans les repères du maître Grusk-aok !

Elle avait déjà entendu parler de ce nom. Gruks-aok était selon son oncle l'un des plus puissants chef des orques. Mais l'emplacement de son repère n'était connu que par les orques de son clan.

- Très bien. Maintenant deuxième question. Pourquoi m'avoir ammené ici ?

- C'est pourtant évidant beauté. Tu es ici pour servir de divertissement au clan ! Tu devras te mesurer au meilleur combattant du clan, et lorsqu'il t'aura tué, tu iras pourrir au fond de cette fosse !

- Alors la, sa reste à voir. Et maintenant, dernière question ! OÙ EST MON FRÈRE !!!

Elle n'avait pu se retenir d'avantage, la colère devenait toujours de plus en plus grande. L'écho de sa voix résonna dans la salle. Mais à ce moment, elle se moquait bien qu'on l'entende.

- Ah ouais, si tu veux parler de l'autre crétin qui était avec toi beauté, il a été emmené avec le vieux par le clan voisin. Nous avions une légère dette envers eux alors Grusk-oak a jugé que ça serait suffisant.

- Merci pour tes réponses, et maintenant si je peux te donner un conseil, trouve toi une autre beauté !

Elle décocha alors sa flèche qui alla se planter dans le crâne de l'orque. La torche tomba au sol, et le corps chuta dans la fosse qui se trouvait derrière lui. Maliana se dit alors à elle même.

- Eh bien alors, qui est-ce qui va pourrir au fond de la fosse.

Elle prit alors la torche, et décida d'emprunter le chemin par lequel l'orque était arrivé. Lorsqu'elle eu tourné le coin au bout de la passerelle, elle remarqua que le couloir était sombre et semblait assez long. Il y avait de bonne chance pour que personne n'ait entendu ce qui venait d'arrivé. Elle avanca alors tenant la torche dans une main, et l'arc avec une flèche encochée dans l'autre. Le couloir était très semblable au précédent, mais celui-ci montait un peu. Elle recommença alors à réfléchir. Les orques l'avaient probablement endormie lorsqu'elle se trouvait avec son frère et son oncle, ce qui expliquerait pourquoi elle n'avait aucune marque. Mais maintenant qu'elle savait qu'ils n'étaient pas dans ce souterrain, elle devait sortir au plus vite pour aller les retrouver. C'est alors qu'elle réalisa, devant elle au loin, une lueure dansante. Elle éteignit immédiatement sa torche et prit son arc à deux mains, prêt à décocher. Ses pas ne causaient pas la moindre raisonnance malgré la facilité avec laquelle l'écho semblait se répendre dans ces couloirs. Elle se trouvait maintenant à une dizaine de mètres de la lueure des torches, et elle entendit deux voix qui discutaient. Elle se colla sur le mur, se faisant le plus discrète possible. Il ne fallait pas qu'elle provoque une alerte dans tout le clan.

- Qu'est-ce qu'on s'emmerde dans ces souterrains ! Y'a même pas de quoi mangé en plus.

- Si on allait chasser un peu ? Le chef ne s'en rendra même pas compte.

-Ouais ta raison. Il doit être occupé à observer ses trésors comme toujours. On y va pour la chasse.

Maliana se dit alors que sa chance devait être revenu. Elle avait maintenant un moyen de trouver la sorti. Mais elle devait faire attention, les deux orques avaient eux aussi chacun un arc en leur possession. Elle les suivis alors le plus silencieusement qu'elle pouvait. À part ces deux orques, il n'y en avait aucun dans toute la place. Les autres devaient probablement être dans les niveaux inférieurs de la caverne. Les deux orques tournèrent alors à leur droite, empruntant un escalier qui montait en tournant. Elle continua de les suivres, laissant une certaine distance entre eux. Les orques arrivèrent alors en haut.

- Bon ce crétin de Krolz c'est encore endormi sur son tour de garde.

- Bah laisse le faire, comme ça on est certain qu'il ira pas dire aux autres qu'on est sorti.

Elle continua donc à les suivres, et dû se retenir pour ne pas tuer ce Krolz dans son sommeil. Il y avait trop de risques que les autres l'entendent agoniser. Ils continuèrent donc d'avancer, tournant à gauche, puis à droite. C'était vraiment une chance qu'elle soit tombée sur eux, puisque sinon elle n'aurait jamais pu sortir de cet endroit. Il y avait tant de couloir, s'était un vrai labyrinthe. Puis alors, il lui semblait qu'au devant elle pouvait voir la lumière du jour. L'un des deux orques cria alors.

- Le dernier dehors devra donner la moitié de sa chasse à l'autre !

Puis, tout en disant cela, il fit tomber l'autre face contre terre et parti à courir. Maliana réagit alors aussi vite que l'éclair. Elle parti à courir elle aussi, et lorsqu'elle arriva au niveau de l'orque étendu au sol, elle sauta par dessus lui, lui décochant sa flèche dans son crâne. Il n'eu même pas connaissance de quoi que ce soit, et ne pu donc laisser échapper aucun son. De toute façon, les pas de celui qui courait au devant faisait trop de bruit pour qu'il puisse entendre ce qui arrivait. Maliana continua sa course, sans même s'être arrêter après avoir tiré sa flèche. Elle était parti comme la foudre et n'avait pas l'intention de s'arrêter avant d'avoir atteint la sorti. Elle encocha alors une autre flèche sur son arc, mais celui qu'elle suivait venait d'arriver à l'extérieur et se retourna. Voyant l'elfe arriver derrière lui, il réagit immédiatement et tira une flèche dans sa direction. Maliana mit alors ses bras de chaque côté, formant une croix avec son corps, et pivota sur elle même tout en sautant sans arrêter sa course. Elle se fit le plus mince possible, et la flèche frola son corps de prêt alors qu'elle se trouva de côté à l'orque. Elle reprit alors son arc à deux mains, finissant sont saut après avoir effectuée un tour complet, et sans jamais avoir arrêtée sa course, tira sa flèche qui alla se planter directement dans le coeur de l'orque. Celui-ci échappa alors son arc, et ne comprenant pas ce qui venait d'arriver, regarda la flèche qui s'était logée dans son corps. C'est alors que Maliana arriva à son niveau, regarda l'orque dans les yeux et lui dit dans son language alors qu'elle se trouva à porter de bras de celui-ci.

- Pour mon frère !

C'est alors qu'elle retira d'un coup la flèche du coeur de l'orque, qui tomba immédiatement au sol, le corps inerte. C'est ainsi qu'elle se retrouva seule, dans un endroit qu'elle ne connaissait guère même s'y elle avait enfin atteint le monde extérieur. Mais elle n'avait pas le temps de reprendre son souffle, elle devait trouver le moyen d'aller aider son frère et son oncle. Elle parti donc dans les bois, espérant tomber sur un orque de l'autre clan...